dimanche 14 août 2011

A mon Grand Père

En cette nuit du lundi au mardi
Mon coeur s'est arrêté de battre
Car tu es partis
Lentement et sans te débattre

Mon coeur s'est brisé
En mille sanglots
Car tu nous as quitté
Et ce bien trop tôt

Tu étais et seras toujours mon Pépé adoré
Celui qui me faisait tant rigolé
Et qui était si cher à mon cœur
Tant par sa gentillesse que par sa douceur

Ton image est encrée en moi
Et cela pour l'éternité
Comme une trace indélébile
Et à jamais fixée

La maladie t'as emportée
Mais ton âme est restée
Elle est gravée au fond de mon cœur
Comme une douleur et un bonheur
Une douleur pour la mort
Un bonheur pour le souvenir

(écris en 1996)

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